Shakespeare qui avait écrit un jour "ce qui ne peut être évité il faut l’embrasser". Alors très modestement, puisque je n’ai pu éviter ce qui arrive ce soir, je vous embrasse tous et j’embrasse toute la rédaction qui m’a accompagné si fidèlement depuis 21 ans maintenant. Le succès de ce journal, jamais démenti jusqu’au dernier jour, c’est à elle que nous le devons, à elle et bien sûr à vous. Ce lien que nous avons tissé ensemble il est unique, nul ne peut le défaire. Merci donc pour votre formidable constance, pour votre confiance. Vous ne pouvez pas savoir combien elles nous sont allées droit au cœur. Voilà cette affection, cette estime, c’est ce qui nous a fait grandir, aussi. Merci enfin à TF1 de m’avoir offert ces deux décennies magnifiques. C’est un métier magique et c’est un bonheur de l’avoir exercé ici. <bla bla bla…> Et je suis sûr qu’on se reverra très vite. Soyez aussi heureux que cela est possible et, comme on dit en Bretagne, "Adieu vat".